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Ce site Internet rapporte les résultats d’entrevues avec des informateurs clés, de groupes de discussion et d’un sondage national mené auprès de 2 642 Canadiens de 15 ans et plus, à savoir que :

  • 13 % des adultes canadiens ont une mobilité réduite. 
  • 15 mètres est la distance moyenne que les personnes à mobilité réduite peuvent marcher sans avoir besoin de s’asseoir et de se reposer.
  • Les personnes qui craignent de devoir marcher trop loin choisissent souvent de ne pas accéder aux programmes ou services fédéraux en raison des conséquences négatives pour leur santé.
  • Les obstacles comprennent la distance à parcourir, le temps debout sans support et une série d’attitudes négatives dénigrant les personnes à mobilité réduite et donnant la priorité à l’accès aux appareils à roues.
  • La conséquence principal d’une mobilité réduite est la restriction de la participation communautaire, ce qui entraîne un isolement social.
  • La mobilité réduite (et le besoin connexe d’autonomie sociale continue) touche non seulement l’individu mais aussi son réseau de soutien.
  • Le fait de dépendre des autres pour agir lorsque la distance à parcourir est trop grande a un effet négatif sur l’estime de soi.